Cinq employés de longue date réfléchissent à plus de 20 ans passés à l’ACI et à ce qui motive leur loyauté

De nos jours, passer d’un emploi à l’autre est devenu la nouvelle normalité. Il y a pourtant cinq employés de l’ACI qui travaillent à l’association depuis plus de 20 ans. Je les ai rencontrés pour découvrir ce qui les motive à revenir jour après jour, et en voici les principaux points.

Françoise Smith, traductrice principale (25 ans)

« Le temps a passé si vite, c’est incroyable », déclare Françoise en parlant des 25 dernières années.

Elle a assisté à beaucoup de changement durant son emploi à l’ACI, notamment l’introduction de nouvelles initiatives et technologies, ainsi que la croissance de l’équipe de traduction qui est passée d’une traductrice à trois. « La charge de travail en tant que telle a augmenté énormément », ajoute-t-elle. « Nous (l’équipe de traduction) touchons à presque tout et il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre ».

Françoise affirme qu’elle aime que l’ACI soit une « organisation axée sur la famille » et que son personnel contribue à divers organismes de bienfaisance. Elle explique que ces activités « réunissent les gens ».

Janet Lemoine, coordonnatrice des statistiques MLS® et de l’administration des données (25 ans)

« C’est une sensation incroyable », dit Janet en se remémorant son récent anniversaire. « De nos jours, qui garde le même emploi pendant 25 ans? »

Elle décrit un milieu de travail confortable à l’ACI, où tout le monde est facile à aborder. « On a l’impression de faire partie d’une grande famille », ajoute-t-elle.

Janet souligne que l’ACI en est venue à donner la possibilité de travailler selon un régime de travail flexible. « En ce moment, je travaille à la maison quelques jours par semaine, ce qui est assez extraordinaire », dit-elle. « Cela démontre un autre aspect de notre évolution ».

Gregory Klump, économiste en chef (22 ans)

Greg s’est joint à l’ACI en 1992 avec le mandat de développer un programme d’analyse du marché immobilier à l’intention du public, des courtiers et agents immobiliers, et des gouvernements. Il était prêt à relever le défi à cette époque, et il l’est encore aujourd’hui.

« J’ai eu l’occasion de contribuer à bâtir la crédibilité de l’ACI en analysant le marché immobilier », explique-t-il. « C’est la raison pour laquelle j’ai été embauché. Nous avons fait beaucoup de progrès, mais il reste encore beaucoup de travail à accomplir et j’ai toujours autant de plaisir à le faire. »

Il aime que l’ACI donne la chance à son personnel de faire ses preuves sans être l’objet d’une microgestion : « On vous donne l’occasion de bâtir quelque chose avec un haut degré d’autonomie tout en contribuant au succès des membres ».

Kelly Berger, spécialiste des services de la bureautique et des logiciels médiateurs (21 ans)

Kelly appelle son 21e anniversaire « une fière réalisation » et pourtant, elle attend déjà avec impatience de franchir la prochaine étape importante. « Mon prochain objectif est d’atteindre 25 ans », dit-elle.

Kelly a fait ses débuts au Service des finances de l’ACI. « J’ai pratiquement travaillé dans chaque service de l’association d’une manière ou d’une autre », dit-elle. Elle s’est finalement arrêtée à notre Service de l’infotechnologie grâce à son flair pour les nouvelles technologies et à sa capacité pour traduire ce qu’elle appelle affectueusement le « jargon des technophiles » en des termes à la portée de tous.

« Je trouve que le travail en tant que tel est très satisfaisant et parfois très exigeant », explique-t-elle. « Tout est en constante évolution. Lorsque j’ai commencé à travailler à l’ACI, nous n’avions aucune technologie ni de service d’infotechnologie. Nous n’avions ni serveur ni courriel. Tout cela a été mis en place à partir de 1994. »

Bill Harrington, directeur juridique (21 ans)

« C’est intéressant de passer autant de temps au même endroit », réplique Bill lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de ses 21 ans à l’ACI. « La nature de mon travail était différente de tout ce que j’avais fait auparavant. Ça m’a plu et j’y ai vraiment pris goût. C’est un défi constant. »

Une des réalisations les plus chères de Bill est d’avoir participé à la création de REALTOR.ca (anciennement MLS.ca, jusqu’en 2008). « J’étais l’agent de liaison au sein du groupe de travail sur l’avenir du système MLS®, mis en place en 1994 », se souvient-il. « C’est ce groupe qui a mis en place MLS.ca., qui n’était en fait qu’un point inscrit dans un vaste plan sur l’avenir. C’est pourtant ce projet qui a décollé et qui a connu un énorme succès. Je crois que l’ACI devrait être très fière de cela. »

Points à retenir sur le maintien de l’effectif

Quelles stratégies de maintien de l’effectif peut-on tirer des réflexions de ces employés de longue date à l’ACI? J’en retiens trois :

  1. Présenter aux employés de nouveaux défis et des occasions d’apprendre.
  2. Démontrer de la confiance envers les employés en leur donnant la possibilité d’entreprendre des projets avec autonomie et en leur offrant un régime de travail flexible.
  3. Entretenir un sens de la communauté en adoptant une politique de porte ouverte et en encourageant la participation à des activités caritatives en milieu de travail.

Avez-vous des conseils à donner ou des histoires à raconter sur le maintien de l’effectif? Veuillez nous en faire part dans la case des commentaires ci-dessous.

Au nom de nous tous à l’ACI, nous remercions Françoise, Janet, Greg, Kelly et Bill de leur dévouement!

 

Sarah Thirnbeck, directrice adjointe, Stratégie et répercussions, assure la direction du programme national REALTORS Care® de l’ACI, dont l’objectif est de célébrer les réalisations philanthropiques extraordinaires des détenteurs du titre REALTOR® du Canada et de favoriser davantage l’esprit de générosité au sein du secteur immobilier. De plus, elle se charge des activités à l’appui des réseaux de jeunes professionnels locaux et provinciaux d’un océan à l’autre, ainsi que des nouvelles initiatives visant à promouvoir la diversité, l’équité et l’inclusion au sein du conseil d’administration et des comités de l’ACI. Sarah a récemment obtenu un diplôme d’études supérieures en responsabilité et durabilité sociale de l’University of St.Michael’s College in the University of Toronto, qui complète ses diplômes de premier et de deuxième cycles en communications.


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