Saveurs de la semaine : le 20 novembre 2015

Les Saveurs de la semaine sont votre source hebdomadaire de nouvelles et de reportages sur l’immobilier qui auraient pu vous échapper. Notre équipe des Saveurs de la semaine s’acharne à parcourir le Web, les groupes de nouvelles et les forums à la recherche de reportages obscurs, bizarres, intéressants et informatifs sur l’immobilier ou des sujets connexes. Si vous désirez en contribuer un, veuillez l’afficher à notre section réservée aux commentaires ou gazouiller sur le reportage en utilisant le mot-clic #Saveursdelasemaine. Faites-vous couler une bonne tasse de café frais, savourez ces reportages… et faites-en peut-être même part à vos amis et collègues. Bonne lecture!

Voici mes choix de la semaine :

Les suggestions de la semaine : faire du neuf avec du vieux, Airbnb et impôts, l’OPAM a 25 ans et évitez d’acheter une maison sur un coin de rue.

Les Affaires enquêtent sur les effets des changements climatiques et les assurances.

La Croix nous informe que la 5e avenue de New York demeure toujours l’artère la plus chère au monde.

Une occasion peut-être? Un ancien hôpital psychiatrique (hanté) est à vendre au Michigan.

Le Figaro rapporte qu’au Mexique, 113 enfants bloquent un projet immobilier de 840 millions.

Challenges ose poser la question difficile : quelles conséquences auront les attentats sur l’immobilier à Paris.

Le Nouvel Observateur suggère que les bureaux transformés en logements seront bientôt exonérés de taxe foncière.

EmplorImmo discute des métamorphoses du crowdfunding immobilier.

Un entrepreneur à Cagnes-sur-Mer a trouvé une façon originale pour financer son projet immobilier.

Des occasions? La ville de Quimper veut vendre son patrimoine immobilier.

On dit qu’à Londres, l’acheteur moyen gagne 148 000 euros par année.

BFMTV révèle que la deuxième plus haute tour de Londres est en chantier.

Jonathan Baker, notre ancien rédacteur de discours, a contribué à la rédaction de discours, de publicités et de communiqués à l’intention de nos membres. Notre personnel savait que c’est à lui qu’il fallait s’adresser au 200, rue Catherine lorsqu’on avait besoin d’une pointe d’humour. Avant de se joindre à l’ACI, Jon a travaillé dans le domaine de la radio à Ottawa. Si vous rencontrez Jon, n’oubliez pas de lui demander de vous parler des nombreux musiciens célèbres qu’il a croisés au fil de ses 10 ans passés à faire du bénévolat pour un festival musical local.


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