Saveurs de la semaine : le 28 février 2014

Les Saveurs de la semaine sont votre source hebdomadaire de nouvelles et de reportages sur l’immobilier qui auraient pu vous échapper. Notre équipe des Saveurs de la semaine s’acharne à parcourir le Web, les groupes de nouvelles et les forums à la recherche de reportages obscurs, bizarres, intéressants et informatifs sur l’immobilier ou des sujets connexes. Si vous désirez en contribuer un, veuillez l’afficher à notre section réservée aux commentaires ou gazouiller sur le reportage en utilisant le mot-clic #Saveursdelasemaine. Faites-vous couler une bonne tasse de café frais, savourez ces reportages… et faites-en peut-être même part à vos amis et collègues. Bonne lecture!

Voici mes choix de la semaine :

Le Soleil présente un reportage intitulé Le courtier immobilier, « démineur » professionnel.

La Presse nous présente des poêles acceptés à Montréal.

Le Devoir présente deux articles sur l’achat d’une propriété – un sur utiliser un courtier (ou non), et l’autre sur les prêts préautorisés.

Gatineau présente une vision de 103 millions de dollars pour son centre-ville.

Challenges présente un diaporama illustrant les goûts de luxe des dictateurs.

L’Internaute.com publie un reportage regroupant 25 biens immobiliers atypiques français à saisir.

Une agence parisienne propose de modeler en 3D des biens immobiliers dans le but d’aider les acheteurs potentiels à s’imaginer sur les lieux.

À Paris, on peut louer des lieux insolites et confidentiels pour négocier ou festoyer.

Un nouveau sondage (français) conclut qu’en immobilier, 66 % des propriétaires sont des hommes, comparativement à 59 % pour les femmes.

À Londres, on demande 483 792 € pour une place de stationnement privé au Royal Albert Hall.

En Chine, davantage de villes enregistrent une baisse des prix de l’immobilier.

 

Jonathan Baker, notre ancien rédacteur de discours, a contribué à la rédaction de discours, de publicités et de communiqués à l’intention de nos membres. Notre personnel savait que c’est à lui qu’il fallait s’adresser au 200, rue Catherine lorsqu’on avait besoin d’une pointe d’humour. Avant de se joindre à l’ACI, Jon a travaillé dans le domaine de la radio à Ottawa. Si vous rencontrez Jon, n’oubliez pas de lui demander de vous parler des nombreux musiciens célèbres qu’il a croisés au fil de ses 10 ans passés à faire du bénévolat pour un festival musical local.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *