Courtiers et agents, il est temps de mettre en valeur votre penchant technophile

Au cours des derniers mois, le secteur des communications mobiles a vu l’arrivée des technologies de pointe. Les géants de la technologie tels que Samsung, Motorola et Apple ont dépensé des millions de dollars à la diffusion de leurs dernières innovations, à la grande joie des technophiles insatiables partout dans le monde. Des centaines ont fait la queue en magasin, tandis qu’un très grand nombre cherchait frénétiquement à mettre la main sur les renseignements de précommande. Cette année, le téléphone intelligent a peu à peu dû faire place à une nouvelle ère de dispositifs mobiles : les montres intelligentes.

Compte tenu que plus de 90 % des ventes de téléphones actuelles sont des téléphones intelligents, les statistiques de 2014 révèlent que plus de 27 millions de Canadiens sont des abonnés des services sans fil. Un autre fait intéressant à noter : selon les rapports du premier trimestre de 2013, le nombre de nouveaux utilisateurs aurait augmenté de près de 600 % par rapport au même trimestre en 2012. Pour répondre à cette demande, certains fabricants de téléphones lancent des modèles « économiques » à des centaines de dollars moins chers que leurs dispositifs phares, et ces derniers sont aussi efficaces sinon plus efficaces (Moto G 2014 par rapport au Moto RAZR 2013). Il est indéniable que l’ensemble du secteur des technologies de l’information s’enracine plus profondément dans la vie de tous les jours. Le terme téléphone intelligent fait déjà partie du vocabulaire des familles et, lorsque je me promène dans les rues de ma ville natale, Ottawa, il est pratiquement impossible de ne pas voir quelqu’un dont les yeux sont rivés sur le petit écran d’un dispositif portable.

Cela étant dit, quelles répercussions cette dépendance accrue au sans fil a-t-elle sur le secteur immobilier? Étant donné qu’un plus grand nombre de Canadiens ont un téléphone intelligent entre les mains, les acheteurs et propriétaires-vendeurs éventuels ont donc accès plus rapidement et plus aisément à des renseignements afin de faciliter leurs recherches – et ils s’y attendent. Prenons par exemple la fonction recherche d’inscriptions à proximité offerte par les applis de REALTOR.ca. Il y a à peine quelques années, le processus de recherche consistait au minimum à noter par écrit les coordonnées de la personne, à fixer un rendez-vous de suivi, à se renseigner sur le quartier, puis à faire des comparaisons. De nos jours, il ne faut que quelques secondes pour avoir à portée de la main les renseignements sur les propriétés. Parce qu’ils ont accès à de puissants moteurs de recherche comme Google, n’importe où, les utilisateurs sont en mesure de rechercher des prix et des coordonnées, de lire des rapports sur la criminalité, l’historique des propriétés, les taux de croissance, entre autres, et ce, souvent lorsqu’ils sont sur la route.

Ce n’est un secret pour personne : non seulement la technologie sans fil a des répercussions sur le secteur immobilier, mais elle façonne l’avenir de tout le secteur. D’après de récentes statistiques sur REALTOR.ca, les utilisateurs téléchargent les applications mobiles de plus en plus. Le taux d’adoption mensuel des différentes applications de REALTOR.ca a quadruplé depuis leur mise en service, notamment l’appli de REALTOR.ca pour l’iPhone qui a été téléchargée plus de 1,6 million de fois depuis son lancement et qui a attiré plus de 170 000 utilisateurs actifs par semaine.

À mesure que les innovations augmentent et que les coûts de la technologie continuent à baisser, il semble que nous aurons tous intérêt à mettre en valeur notre penchant technophile. Pour ma part, j’attends avec impatience le jour où ma montre sera en mesure de me faire signe que je passe devant une maison qui pourrait m’intéresser. L’avenir est certainement prometteur.

 

Vous croyez que vous passez beaucoup de temps sur votre téléphone? Permettez-nous de vous présenter notre ancien analyste de systèmes de gestion – Mobile, David Soegiarto. Il consacrait ses journées entières au soutien de l’analyse, du développement et de l’amélioration des services de la technologie sans fil de l’ACI. En un mot, lorsqu’on lui proposait une fonction à ajouter aux dispositifs sans fil, David travaillait en première ligne à déterminer comment faire de cette conception une réalité.


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