Histoires d’épouvante en immobilier

Clowns tueurs, maisons hantées et poltergeists – non, il ne s’agit pas du dernier film d’horreur hollywoodien bientôt dans les salles.

Pour fêter Halloween, nous avons demandé à des membres du conseil d’administration de l’ACI de nous raconter leurs histoires immobilières les plus macabres. Frissons garantis : tout est vrai (ou presque). Continuez votre lecture… si vous l’osez!

James Mabey, administrateur régional, Alberta

James Mabey

« Ça s’est passé en mars 2016, par une journée froide et nuageuse. Je travaillais avec un jeune couple, Eric et Lynae, de bons amis à mon mari et à moi.

Au début, la visite n’avait rien d’inhabituel. J’ai ouvert la boîte à clés en essayant de résister au froid pénétrant. Nous avons allumé les lumières du rez-de-chaussée sur notre passage pour dissiper la grisaille. Mes clients sont descendus au sous-sol avant moi. Dehors, le vent soufflait et les arbres griffaient la façade – un printemps typique en Alberta.

La lumière a clignoté avant de s’éteindre. Tâtonnant dans l’obscurité, Lynae a trouvé la porte la plus proche. Elle a tiré sur la poignée, sans résultat. Eric lui a prêté main-forte.

Le battant s’est ouvert à la volée, et un clown armé d’un couteau s’est jeté sur mes clients!

Je n’en suis pas très fier, mais j’ai hurlé de terreur!

Quelques instants plus tard, nous avons compris que c’était un placard rempli de décorations d’Halloween.

Eric et Lynae en parlent encore. »

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Kimberly French, administratrice régionale, Atlantique

« J’étais agente depuis un mois quand on m’a appelée pour une inscription le jour d’Halloween. Une dame à la voix très douce m’a expliqué qu’elle ne pouvait plus vivre seule et qu’elle n’avait pas le choix de vendre sa propriété.

Je devais d’abord la rencontrer à un autre endroit. Son amie m’accompagnerait ensuite pour la visite.

La maison était située dans un quartier prisé par les cadres supérieurs et j’avais hâte d’y faire mes premières armes.

J’ai rencontré la dame et son amie avec l’enthousiasme débordant de l’agent frais émoulu. On s’est mis en route.

À l’époque, je n’étais pas aussi méfiante et je pouvais prendre des inconnus en voiture sans avoir peur.

Les choses ont commencé à devenir étranges quand l’amie m’a informé que la pauvre dame avait été victime de harcèlement téléphonique et de farces cruelles. Pendant tout le chemin, j’ai répondu automatiquement avec des “Oh mon Dieu”, des “C’est tellement triste” et autres expressions de circonstance.

C’est là que je l’ai vue!

Fenêtres noircies, détritus éparpillés : j’ai d’abord cru à une maison négligée.

J’avais un mauvais pressentiment, qui s’est confirmé quand on est entrés.

La maison avait été incendiée et un homme y avait été assassiné! La personne accusée du meurtre était le conjoint de l’amie qui m’accompagnait, qui était elle-même accusée d’avoir mis le feu!

J’ai cru qu’on me faisait une blague d’Halloween, mais ce n’était pas le cas! »

Steven Bobiash – Administrateur régional, Saskatchewan

« J’ai inscrit une propriété plus que centenaire dans une petite ville. Ce jour-là, je prenais des photos et des mesures au troisième étage. Quand je suis descendu, le locataire m’a demandé si j’avais entendu un bruit assourdissant.

Un grand miroir était tombé quelques minutes après mon passage. Il y avait des éclats partout. D’après le locataire, il était accroché au mur depuis des années.

Plus tard, j’ai appris qu’on tenait des veillées pour les morts dans cette pièce il y a un siècle. »

haunted house

Aucun agent n’a été blessé dans ces histoires effrayantes, mais, malheureusement, personne n’est jamais à l’abri du danger dans notre milieu. Pour rester en sécurité à Halloween – et le reste de l’année –, lisez nos Conseils de sécurité pratiques pour travailler en immobilier.

Vous avez une histoire effrayante à partager? Faites-nous-en part dans la section Commentaires.

Sarah Doktor est conseillère en communications. Elle est chargée de concevoir divers produits de communication interne et externe, comme du contenu de blogue, des bulletins d’information, des messages sur les réseaux sociaux et des notes d’allocution. Avant de se joindre à l’ACI, Sarah a travaillé comme journaliste dans une petite ville et comme rédactrice de contenu en ligne pour l’un des plus grands médias nationaux au Canada. Dans ses temps libres, Sarah rénove sa maison centenaire, fait de l’exercice à la salle de sport ou regarde en rafale des émissions de télé-réalité « quétaines ».


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